calhounsquare a écrit :slimongi a écrit :calhounsquare a écrit :Formidable!
Il reste quoi sinon comme groupe des années 80 qui ne s'est pas encore reformé? :lol:
.....pOURQUOI TU RIGOLES....si tu connaissais bien la vie de notre cher et talentueux Mark Hollis tu devrais savoir que l'argent ne la jamais motivé ...et sa prise de risque Artistique a toujours été extrême...
Ne t'en fais pas j'adore Talk Talk même si je connais mal leur discographie quand j'en vois ce qu'en dis jpweb.
Du coup je vais m'écouter les albums en question.
1. The Colour of Spring 3:52
2. Watershed 5:45
3. Inside Looking Out 6:21
4. The Gift 4:22
5. A Life (1895-1915) 8:10
6. Westward Bound 4:18
7. The Daily Planet 7:19
8. A New Jerusalem 6:49
MarkHolis Myspace
http://profile.myspace.com/index.cfm?fu ... =139622978
Si tu veux en savoir + sur la disco
http://jamrek.com/SPIP-v1-7-2/article.p ... article=17
.....Mark Hollis commence alors une longue période de retrait, tandis que Harris et Webb participent à plusieurs projets. Ce n’est qu’en 1998 qu’il sort son premier album solo, sobrement intitulé Mark Hollis. Il s’agit d’un disque au moins aussi important que les deux derniers Talk Talk : l’instrumentation est plus épurée, la place du silence est essentielle, et les compositions de Mark Hollis se rapprochent plus de la musique contemporaine. Humilité et sensibilité sont les deux mots qui viennent à l’esprit à l’écoute de ce disque. La musique de Mark Hollis ne s’impose pas : discrète, fugace mais indélébile, elle devient pourtant vite indispensable. "Watershed" est absolument magnifique de sobriété : une phrase simple, les notes qui descendent peu à peu pour former un ensemble qui émeut profondément. "A life" est le morceau le plus aventureux et le plus complexe du disque : l’instrumentation est soignée, les rythmiques sont là encore formidablement expressives. Pour exprimer l’impact de ce disque, il suffirait cependant d’évoquer le début du premier titre, "The Colour of Spring" (encore un clin d’oeil !) : quinze secondes de silence majestueux, puis un premier accord. Un accord plaqué qui résonne, qui se suffit à lui-même, et qui laisse une impression d’absolu que seule la musique peut procurer.
Depuis 1998, Mark Hollis est en retraite musicale : trop de rancoeurs sans doute, et aussi le sentiment d’avoir beaucoup donné alors qu’on lui a peu rendu. Il est pourtant un musicien essentiel de la fin du XXème siècle qui a su, comme Robert Wyatt, transcender la musique populaire pour toucher à l’essentiel et à l’inoubliable.